Vendredi, on repart, nous voilà encore en route pour Manjack Cay, le trajet se fait bien car il y a très peu de vent et de vagues. En arrivant à bord je fais du pâté chinois, hier j’en ai profité pour acheter du bœuf avant de partir. L’ancre semble bien tenir, on réussit à connecter à l’internet juste assez longtemps pour expédier des courriels qui étaient en attente dans notre boite d’envoi. 
Dans l’après midi, on prend une grande marche sur l’île, la plage du côté Atlantique est superbe, beau sable blanc à perte de vue et absolument personne vu que l’île est privée. En revenant après la longue marche car les sentiers pour traverser l’île sont étroits et accidentés, on rencontre Leslie qui est propriétaire avec son mari, elle nous montre ses jardins ;quel travail énorme avec le peu de terre arable qu’il y a aussi, ils sont courageux et extrêmement gentils. On revient au bateau j’essaie à nouveau de faire du pudding au riz, c’est ma bête noire, je ne réussis jamais à en faire du bon, cette fois-ci, il est trop sucré. On fait un beau dodo , nous sommes tellement près de la rive qu’on ne sent ni les vagues ni le vent qui est à 20 noeuds.
Dans l’après midi, on prend une grande marche sur l’île, la plage du côté Atlantique est superbe, beau sable blanc à perte de vue et absolument personne vu que l’île est privée. En revenant après la longue marche car les sentiers pour traverser l’île sont étroits et accidentés, on rencontre Leslie qui est propriétaire avec son mari, elle nous montre ses jardins ;quel travail énorme avec le peu de terre arable qu’il y a aussi, ils sont courageux et extrêmement gentils. On revient au bateau j’essaie à nouveau de faire du pudding au riz, c’est ma bête noire, je ne réussis jamais à en faire du bon, cette fois-ci, il est trop sucré. On fait un beau dodo , nous sommes tellement près de la rive qu’on ne sent ni les vagues ni le vent qui est à 20 noeuds.
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