Jeudi, le brouillard est omnipréent et la mer donne des vagues de 5 pieds, bien que Discovery quitte vers la mer, Paul et moi préférons rester un peu jusqu’à ce que la météo s’améliore. On annonce de mauvais temps pour les jours qui viennent alors on décide d’aller vers un ancrage à quelques milles de Cape May pour être plus à l’abri et pouvoir descendre à terre. On va prendre du diesel et on se dirige vers la marina de l’autre côté de l’ancrage : mauvaise idée, encore une fois on devra soulever le plancher car l’eau entre à grands coups. Si je me souviens bien, la même chose nous était arrivée à l’automne, on va finir par apprendre qu’il faut toujours avoir nos cartes électroniques disponibles quand on se déplace. Finalement, on quitte vers 9a.m. via la route qui est intracostale, mais impossible à suivre plus loin que notre destination car il y a des ponts de 35 pieds qui ne se lèvent pas, il faudra donc revenir sur nos pas pour prendre la mer vers Atlantic City. On s’installe à Sunset lake, et à notre consternation, on se retrouve dans des profondeurs qui n’ont rien à voir avec ce qui est sur les cartes, il faut dire qu’on est à marée basse mais il y a des limites aux différences possibles. Avant de frapper le fond, on s’ancre juste en dehors du chenal à côté du club de voile qui est fermé. On en profite pour prendre une marche et essayer de trouver du Wifi. Après plusieurs rues on découvre la bibliothèque municipale où le personnel est super et j’achète deux livres de poche à 10 cents chacun car je commence à avoir moins de livres à lire pour le reste du voyage. On va faire le marché chez ACME (je cherche le coyote et le Roadrunner et son Beep Beep dans les allées sans succès), comme d’habitude on achète beaucoup plus que prévu et il faut transporter tous ces sacs au bateau et il fait beaucoup plus chaud qu’à notre départ et les gouttes de sueur dégoulinent du bout du nez de Paul. On revient pour souper avec de délicieux hamburgers maison et de belles grosses fraises qui à notre agréable surprise goûtent les vraies fraises, quel régal !
10 Mai Cape May – Sunset lake (Wildwood)
Jeudi, le brouillard est omnipréent et la mer donne des vagues de 5 pieds, bien que Discovery quitte vers la mer, Paul et moi préférons rester un peu jusqu’à ce que la météo s’améliore. On annonce de mauvais temps pour les jours qui viennent alors on décide d’aller vers un ancrage à quelques milles de Cape May pour être plus à l’abri et pouvoir descendre à terre. On va prendre du diesel et on se dirige vers la marina de l’autre côté de l’ancrage : mauvaise idée, encore une fois on devra soulever le plancher car l’eau entre à grands coups. Si je me souviens bien, la même chose nous était arrivée à l’automne, on va finir par apprendre qu’il faut toujours avoir nos cartes électroniques disponibles quand on se déplace. Finalement, on quitte vers 9a.m. via la route qui est intracostale, mais impossible à suivre plus loin que notre destination car il y a des ponts de 35 pieds qui ne se lèvent pas, il faudra donc revenir sur nos pas pour prendre la mer vers Atlantic City. On s’installe à Sunset lake, et à notre consternation, on se retrouve dans des profondeurs qui n’ont rien à voir avec ce qui est sur les cartes, il faut dire qu’on est à marée basse mais il y a des limites aux différences possibles. Avant de frapper le fond, on s’ancre juste en dehors du chenal à côté du club de voile qui est fermé. On en profite pour prendre une marche et essayer de trouver du Wifi. Après plusieurs rues on découvre la bibliothèque municipale où le personnel est super et j’achète deux livres de poche à 10 cents chacun car je commence à avoir moins de livres à lire pour le reste du voyage. On va faire le marché chez ACME (je cherche le coyote et le Roadrunner et son Beep Beep dans les allées sans succès), comme d’habitude on achète beaucoup plus que prévu et il faut transporter tous ces sacs au bateau et il fait beaucoup plus chaud qu’à notre départ et les gouttes de sueur dégoulinent du bout du nez de Paul. On revient pour souper avec de délicieux hamburgers maison et de belles grosses fraises qui à notre agréable surprise goûtent les vraies fraises, quel régal !
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