Dimanche, il fait beau mais très frais dans la matinée 12C, le soleil a bientôt fait de tout réchauffer. C’est la journée de l’exposition d’art, j’ai exposé ma première aquarelle (deux hibiscus), cela fait bizarre. Il y a vraiment beaucoup de personnes artistiques dans le parc, Paul vient faire un tour et prend des photos des peintures, il est agréablement surpris par la qualité des œuvres. J’ai offert mes services pour la vente de certaines pièces, une dame achète cinq aquarelles, cela lui coûte seulement $70. Elles avaient été peintes par un de nos professeurs et sont très belles. Par la suite, j’aide à passer des verres de thé glacé, cela me donne la chance de retourner voir les peintures (huile, pastels, acrylique et aquarelle). En après-midi nous prenons une grande marche avec les chiens et allons acheter nos billets pour le BBQ des canadiens qui aura lieu mercredi. Il y a toujours des événements de planifiés, cela ne laisse pas de temps pour s’ennuyer.
Lundi, il fait encore un peu frais le matin, je vais à la rencontre de quilting, c’est très populaire dans le parc, il y avait 72 femmes présentes. Dans l’après-midi, je vais dans une salle réservée à la couture, il y a un bon groupe qui s’amuse bien, les dames fabriquent des couvres-tables qui sont très amusants et je placote avec elles, j’ai enfin entrepris de tailler le petit manteau que j’avais trouvé si beau l’an passé, on verra bien à quoi ressemblera le mien. La migration du printemps a commencé, déjà il y a des terrains vides. Le gel n’a heureusement pas tué tous les bougainvilliers, il faudra certainement couper sérieusement les branches mais il y a des petits bougeons qui sortent un peu partout, il y en a un juste devant notre terrain et j’étais triste car il avait l’air mort.
Mardi, il fait très très chaud 34C, une chance qu’il y a du vent. Le matin, nous quittons tous les deux, je vais à la danse et Paul… devinez… au wood shop, la table est presque finie, j’ai bien hâte de la voir. Au retour je fais des biscuits santé (je suis masochiste de cuisiner par une chaleur pareille). En après-midi, Gigi, une copine qui fait de l’aquarelle vient me porter deux revues que j’aime beaucoup, je m’empresse de les scanner car j’ai fouillé sur l’internet et elles ne sont plus disponible chez l’éditeur. J’avais dit que je lui remettrais ses livres avec une copie digitale sur CD, je passe donc des heures à genoux devant le photocopieur/imprimante. N’ayant pas vérifié la météo, j’avais du porc haché et des crevettes de décongelés, il faut donc que je cuisine des petits dumplings comme ceux que ma fille Joëlle avait faits lors de notre dernière rencontre, il fait tellement chaud quand Paul revient, qu’il ferme les fenêtres et part les climatiseurs. Nous allons chez Monic et Yvon pour le 5-7, ils reçoivent des amis avec qui ils ont passé des hivers en caravane. Bientôt, il faut rentrer car le vent est tombé et on se fait harceler par des petites mouches, elles sont niaiseuses (ne piquent pas) mais elles réussissent à nous exaspérer. Nous mangeons les dumplings qui sont bons et recevons la visite de Claudette et Luis, Paul va faire un tour chez eux car leur ordinateur ne fonctionne plus, il essaie de déterminer la cause mais il semble que ce soit un problème sérieux qu’il ne peut réparer.
Mercredi, une autre très belle journée chaude et ensoleillée 31C. La matinée se passe normalement, la petite routine est bien en place, Paul va au wood shop et je danse. Nous avons rendez-vous au parc car c’est la journée du pique-nique des canadiens, le climat est idéal, chaud avec un petit vent frais. Nous mangeons le hot-dog traditionnel et il y un groupe de musiciens western, on nous dit qu’il y a beaucoup moins de participants que l’an passé et au bout de quelques heures nous revenons à la caravane. La table est complétée, Paul l’apporte à la caravane et installe la quincaillerie sur la base
existante (beaucoup moins belle que le dessus, un projet pour une autre année), la table est une réussite, elle est tellement belle que je n’ose presque pas m’en servir. Nous sortons pour souper avec Monic et Yvon, nous voulons essayer le Gonzales Burgers au 1309 Silver ave à Donna, leurs hamburgers nous ont été recommandés par plus d’une personne, on nous dit qu’il y a de longues files d’attente à partir de 10:30 am. Nous trouvons finalement le petit restaurant après être passés devant sans le voir car ils n’ont pas d’affiche à l’extérieur (probablement emportée par le vent). Il a fallu demander des directions à des gens dans le coin. La propriétaire sort du restaurant qui n’est ouvert qu’à l’heure du lunch et elle vient placoter avec nous, elle est très gentille, elle nous dit que ce sont les winter texans qui lui permettent de survivre, sans eux elle aurait fermé ses portes, le restaurant n’est ouvert que pour le lunch et est fermé du mois de mai au mois de septembre. Nous aboutissons au Wataburger pour souper en se promettant de revenir chez Gonzales demain pour le lunch.
Jeudi, encore une belle journée chaude, quand on sort dehors, l’arôme des fleurs d’agrumes est toujours présent, cela donne l’envie de respirer à pleins poumons. Le matin, je vais rencontrer un groupe du quilting qui ont une session de couture pour faire des pochettes servant à cuire les légumes au micro-ondes, une dame nous donne le patron et les conseils sur leur fabrication, j’en ai déjà une mais je m’en sers beaucoup et j’en ferai pour donner en cadeau. Nous quittons à 10 :30am avec Monic et Yvon pour aller chez Gonzales Burger, nous y arrivons vers 11am et déjà toutes les tables sont prises, nous sommes le numéro 47 (je ne compte pas les commandes pour apporter),
il faut donc s’installer à l’extérieur. Il faudra donc attendre notre tour car ils sont seulement trois à fabriquer les hamburgers, ils offrent 10 variétés qui partent du simple hamburger à $4.45 qui est fait avec ¾ de livre de viande jusqu’au double meat (1 ½ livre de viande) double cheese et bacon à $9.20. Il faut donc se résigner à attendre 1 heure et demie pour recevoir la commande et les gens continuent d’arriver, ils écoulent 150 lbs de viande hachée par jour qu’ils hachent eux-mêmes. Ce restaurant est encore enregistré comme épicerie, ils sont en affaires depuis plus de 50 ans, ils conservent encore une petite étagère contenant quelques items mais l’ouverture d’un HEB tout près était près de leur faire fermer leurs portes. La transformation en restaurant a commencé
par un beau geste, la propriétaire a donné un hamburger à un petit garçon qui venait acheter un chip pour son lunch, le lendemain, il revenait avec ses petits copains de l’école d’à côté pour acheter des hamburgers et la vocation de l’établissement était désormais changée. Je me demandais pourquoi il n’y avait plus de pancarte devant le restaurant, dans les années 70 il y a eu une grosse tempête et l’affiche s’est retrouvée transportée à Arlingen par le vent, on a appelé les Gonzales pour leur dire de venir la chercher mais ils ont décidé qu’ils n’en avaient plus besoin, leur réputation suffisait. L’attente en valait la peine, les hamburgers étaient délicieux, je mangerai le reste au lunch ce midi, nos deux hommes ont tout mangé le leur mais n’ont pu finir les frites et rondelles d’oignon (je me demande pourquoi).
Vendredi, je crois que nous pouvons finalement ranger nos manteaux d’hiver, c’est encore une belle journée chaude et ensoleillée. Je n’ai rien de planifié mais je ne m’ennuie pas, je fais des lavages, je fabrique la pochette en coton pour faire cuire les patates, légumes ou tortillas au micro-ondes, naturellement, je suis trop pressée, je ne suis pas bien les instructions et je passe un temps fou à défaire deux longues coutures, ça m’apprendra. Je cuisine aussi des biscuits aux raisins et gruau pour le lunch de demain. Paul revient du wood shop, il a fabriqué une plaquette pour installer la lampe que j’utilise pour mes travaux sur le mur au lieu de la pincer sur notre belle table neuve. Le soir, nous allons au 5-7 chez Rodrigue et Lise, ils sont charmants et ils ont un superbe motorisé « Pusher diesel » tout neuf, c’est à faire verdir de jalousie. Nous allons souper chez Cortino’s avec eux, Monic, Yvon et Michèle, malheureusement, Claude, son époux, a fait un léger ACV ce matin et est à l’hôpital sous surveillance. Le souper est bon, c’est ma journée pour faire des gaffes, je commande des champignons portobello pensant qu’ils seraient farcis et ils m’arrivent panés, disons qu’après les calmars que j’avais mangés, c’était un peu trop de panure à mon goût….donc un autre doggie bag pour un futur repas.
Samedi, il fait encore très beau et ensoleillé. Paul quitte tôt car il va à Brownsville voir un spectacle aérien avec quatre autres hommes. De mon côté, je vais au lunch du Arts club et ensuite nous rencontrons les épouses des hommes avec qui Paul passe la journée. Nous allons à magasiner à Harlingen, pour des choses de hobbies, laine, aiguilles, patrons etc. les dames sont toutes très gentilles. Disons que la journée de Paul a été plus mouvementée que la mienne car il y a eu un accident pendant le spectacle, u
n moteur d’avion a explosé et pris en feu et celui-ci s’est écrasé dans les arbres, heureusement les deux personnes à bord ont survécu. Les hommes sont allés souper chez Ghatti’s, un buffet italien, spaghetti, pizza, salades et les femmes chez Pizza Hut et puis (péché) Dairy Queen, il y a même des dames qui ont pris un banana split, mais il faut dire que nous sommes toutes revenues avec de la pizza pour le lunch du lendemain. Nous sommes tous deux revenus bien contents de notre journée.
Dimanche, il fait beau mais très frais dans la matinée 12C, le soleil a bientôt fait de tout réchauffer. C’est la journée de l’exposition d’art, j’ai exposé ma première aquarelle (deux hibiscus), cela fait bizarre. Il y a vraiment beaucoup de personnes artistiques dans le parc, Paul vient faire un tour et prend des photos des peintures, il est agréablement surpris par la qualité des œuvres. J’ai offert mes services pour la vente de certaines pièces, une dame achète cinq aquarelles, cela lui coûte seulement $70. Elles avaient été peintes par un de nos professeurs et sont très belles. Par la suite, j’aide à passer des verres de thé glacé, cela me donne la chance de retourner voir les peintures (huile, pastels, acrylique et aquarelle). En après-midi nous prenons une grande marche avec les chiens et allons acheter nos billets pour le BBQ des canadiens qui aura lieu mercredi. Il y a toujours des événements de planifiés, cela ne laisse pas de temps pour s’ennuyer.
Lundi, il fait encore un peu frais le matin, je vais à la rencontre de quilting, c’est très populaire dans le parc, il y avait 72 femmes présentes. Dans l’après-midi, je vais dans une salle réservée à la couture, il y a un bon groupe qui s’amuse bien, les dames fabriquent des couvres-tables qui sont très amusants et je placote avec elles, j’ai enfin entrepris de tailler le petit manteau que j’avais trouvé si beau l’an passé, on verra bien à quoi ressemblera le mien. La migration du printemps a commencé, déjà il y a des terrains vides. Le gel n’a heureusement pas tué tous les bougainvilliers, il faudra certainement couper sérieusement les branches mais il y a des petits bougeons qui sortent un peu partout, il y en a un juste devant notre terrain et j’étais triste car il avait l’air mort.
Mardi, il fait très très chaud 34C, une chance qu’il y a du vent. Le matin, nous quittons tous les deux, je vais à la danse et Paul… devinez… au wood shop, la table est presque finie, j’ai bien hâte de la voir. Au retour je fais des biscuits santé (je suis masochiste de cuisiner par une chaleur pareille). En après-midi, Gigi, une copine qui fait de l’aquarelle vient me porter deux revues que j’aime beaucoup, je m’empresse de les scanner car j’ai fouillé sur l’internet et elles ne sont plus disponible chez l’éditeur. J’avais dit que je lui remettrais ses livres avec une copie digitale sur CD, je passe donc des heures à genoux devant le photocopieur/imprimante. N’ayant pas vérifié la météo, j’avais du porc haché et des crevettes de décongelés, il faut donc que je cuisine des petits dumplings comme ceux que ma fille Joëlle avait faits lors de notre dernière rencontre, il fait tellement chaud quand Paul revient, qu’il ferme les fenêtres et part les climatiseurs. Nous allons chez Monic et Yvon pour le 5-7, ils reçoivent des amis avec qui ils ont passé des hivers en caravane. Bientôt, il faut rentrer car le vent est tombé et on se fait harceler par des petites mouches, elles sont niaiseuses (ne piquent pas) mais elles réussissent à nous exaspérer. Nous mangeons les dumplings qui sont bons et recevons la visite de Claudette et Luis, Paul va faire un tour chez eux car leur ordinateur ne fonctionne plus, il essaie de déterminer la cause mais il semble que ce soit un problème sérieux qu’il ne peut réparer.
Mercredi, une autre très belle journée chaude et ensoleillée 31C. La matinée se passe normalement, la petite routine est bien en place, Paul va au wood shop et je danse. Nous avons rendez-vous au parc car c’est la journée du pique-nique des canadiens, le climat est idéal, chaud avec un petit vent frais. Nous mangeons le hot-dog traditionnel et il y un groupe de musiciens western, on nous dit qu’il y a beaucoup moins de participants que l’an passé et au bout de quelques heures nous revenons à la caravane. La table est complétée, Paul l’apporte à la caravane et installe la quincaillerie sur la base 
existante (beaucoup moins belle que le dessus, un projet pour une autre année), la table est une réussite, elle est tellement belle que je n’ose presque pas m’en servir. Nous sortons pour souper avec Monic et Yvon, nous voulons essayer le Gonzales Burgers au 1309 Silver ave à Donna, leurs hamburgers nous ont été recommandés par plus d’une personne, on nous dit qu’il y a de longues files d’attente à partir de 10:30 am. Nous trouvons finalement le petit restaurant après être passés devant sans le voir car ils n’ont pas d’affiche à l’extérieur (probablement emportée par le vent). Il a fallu demander des directions à des gens dans le coin. La propriétaire sort du restaurant qui n’est ouvert qu’à l’heure du lunch et elle vient placoter avec nous, elle est très gentille, elle nous dit que ce sont les winter texans qui lui permettent de survivre, sans eux elle aurait fermé ses portes, le restaurant n’est ouvert que pour le lunch et est fermé du mois de mai au mois de septembre. Nous aboutissons au Wataburger pour souper en se promettant de revenir chez Gonzales demain pour le lunch.
Jeudi, encore une belle journée chaude, quand on sort dehors, l’arôme des fleurs d’agrumes est toujours présent, cela donne l’envie de respirer à pleins poumons. Le matin, je vais rencontrer un groupe du quilting qui ont une session de couture pour faire des pochettes servant à cuire les légumes au micro-ondes, une dame nous donne le patron et les conseils sur leur fabrication, j’en ai déjà une mais je m’en sers beaucoup et j’en ferai pour donner en cadeau. Nous quittons à 10 :30am avec Monic et Yvon pour aller chez Gonzales Burger, nous y arrivons vers 11am et déjà toutes les tables sont prises, nous sommes le numéro 47 (je ne compte pas les commandes pour apporter),
il faut donc s’installer à l’extérieur. Il faudra donc attendre notre tour car ils sont seulement trois à fabriquer les hamburgers, ils offrent 10 variétés qui partent du simple hamburger à $4.45 qui est fait avec ¾ de livre de viande jusqu’au double meat (1 ½ livre de viande) double cheese et bacon à $9.20. Il faut donc se résigner à attendre 1 heure et demie pour recevoir la commande et les gens continuent d’arriver, ils écoulent 150 lbs de viande hachée par jour qu’ils hachent eux-mêmes. Ce restaurant est encore enregistré comme épicerie, ils sont en affaires depuis plus de 50 ans, ils conservent encore une petite étagère contenant quelques items mais l’ouverture d’un HEB tout près était près de leur faire fermer leurs portes. La transformation en restaurant a commencé 
par un beau geste, la propriétaire a donné un hamburger à un petit garçon qui venait acheter un chip pour son lunch, le lendemain, il revenait avec ses petits copains de l’école d’à côté pour acheter des hamburgers et la vocation de l’établissement était désormais changée. Je me demandais pourquoi il n’y avait plus de pancarte devant le restaurant, dans les années 70 il y a eu une grosse tempête et l’affiche s’est retrouvée transportée à Arlingen par le vent, on a appelé les Gonzales pour leur dire de venir la chercher mais ils ont décidé qu’ils n’en avaient plus besoin, leur réputation suffisait. L’attente en valait la peine, les hamburgers étaient délicieux, je mangerai le reste au lunch ce midi, nos deux hommes ont tout mangé le leur mais n’ont pu finir les frites et rondelles d’oignon (je me demande pourquoi).
Vendredi, je crois que nous pouvons finalement ranger nos manteaux d’hiver, c’est encore une belle journée chaude et ensoleillée. Je n’ai rien de planifié mais je ne m’ennuie pas, je fais des lavages, je fabrique la pochette en coton pour faire cuire les patates, légumes ou tortillas au micro-ondes, naturellement, je suis trop pressée, je ne suis pas bien les instructions et je passe un temps fou à défaire deux longues coutures, ça m’apprendra. Je cuisine aussi des biscuits aux raisins et gruau pour le lunch de demain. Paul revient du wood shop, il a fabriqué une plaquette pour installer la lampe que j’utilise pour mes travaux sur le mur au lieu de la pincer sur notre belle table neuve. Le soir, nous allons au 5-7 chez Rodrigue et Lise, ils sont charmants et ils ont un superbe motorisé « Pusher diesel » tout neuf, c’est à faire verdir de jalousie. Nous allons souper chez Cortino’s avec eux, Monic, Yvon et Michèle, malheureusement, Claude, son époux, a fait un léger ACV ce matin et est à l’hôpital sous surveillance. Le souper est bon, c’est ma journée pour faire des gaffes, je commande des champignons portobello pensant qu’ils seraient farcis et ils m’arrivent panés, disons qu’après les calmars que j’avais mangés, c’était un peu trop de panure à mon goût….donc un autre doggie bag pour un futur repas.
Samedi, il fait encore très beau et ensoleillé. Paul quitte tôt car il va à Brownsville voir un spectacle aérien avec quatre autres hommes. De mon côté, je vais au lunch du Arts club et ensuite nous rencontrons les épouses des hommes avec qui Paul passe la journée. Nous allons à magasiner à Harlingen, pour des choses de hobbies, laine, aiguilles, patrons etc. les dames sont toutes très gentilles. Disons que la journée de Paul a été plus mouvementée que la mienne car il y a eu un accident pendant le spectacle, u
n moteur d’avion a explosé et pris en feu et celui-ci s’est écrasé dans les arbres, heureusement les deux personnes à bord ont survécu. Les hommes sont allés souper chez Ghatti’s, un buffet italien, spaghetti, pizza, salades et les femmes chez Pizza Hut et puis (péché) Dairy Queen, il y a même des dames qui ont pris un banana split, mais il faut dire que nous sommes toutes revenues avec de la pizza pour le lunch du lendemain. Nous sommes tous deux revenus bien contents de notre journée.
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