Dimanche, vers Rotorua cette fois-ci, on arrête en chemin voir une vallée géothermique près du lac Taupo,
ensuite on arrive à Rotorua avant l’heure du lunch, le backpacker qui nous intéressait est rempli, la personne à la réception en appelle deux autres et finalement au troisième (Spa Backpacker), il y a une chambre a deux lits (ouf!) je ne voudrais pas encore dormir dans une dortoir. La chambre est un peu miteuse mais propre. Il y a trois jours une bibitte (non identifiée) m’a piquée à la tempe à plusieurs reprises et cela me démange et me fait mal depuis, même en appliquant un onguent à la cortisone. Celle-ci aide à diminuer les démangeaisons mais l’enflure se répand vers l’œil et autour de l’oreille, inquiète, je retourne à une pharmacie pour demander un onguent antibiotique, j’apprend que c’est impossible ici sans prescription. 
On me suggère un antihistaminique,
pas une mauvaise idée, qui sait, il se peut que je sois allergique à la sacrée bibitte. On visite un jardin thermique en plein centre de Rotorua, ils disent que les fumeroles et autres tunnels ou trous d’eau bouillante ou de boue apparaissent sans crier gare un peu partout dans le coin, on le constate, car en plein milieu des sentiers, on découvre des trous pleins d’eau bouillonnante seulement couverts ou 
entourés de grosses roches pour empêcher les gens de mettre le pied dedans, c’est très impressionnant, bbbil y a même des maisons qui ont de la vapeur qui s’échappe de leurs cours arrières, probablement très pratique pour faire le lavage. Le soir, souper dans la cuisine du backpacker, Paul est aux anges, on partage la table avec trois superbes, jeunes, grandes, suédoises blondes.
Lundi, grosse journée de visite, le matin on visite un site qui comprend plusieurs petits lacs aux couleurs différentes dépendant des minéraux et autres dépôts qu’ils contiennent, ils sont tous plus ou moins chauds ou bouillonnants. Le soir souper traditionnel Maori accompagné de spectacles et visite nocturne dans une parc ou on a pu voir de vrais Kiwis en vie et pleins d’énergie, ils sont assez gros ces oiseaux, plus gros qu’une poule,
le bec est très très lon
g. Le parc que nous visitons reçoit des œufs de kiwi sauvages et les garde pendant l’éclosion et pour un an, vu que ces oiseaux sont rares, cela augmente leur risque de survie de 20% à 80% ensuite , ils sont relâchés dans la nature. Le spectacle est très agréable et on nous donne un aperçu de la culture Maori, les danseurs sont tous membres de la même famille étendue et sont des amateurs alors cela ajoute au charme du spectacle.
Mardi, après une nuit calme et un peu trop chaude car il ne faut pas oublier qu’on est assis sur un volcan,
c'est le retour vers Auckland, vu que la route est directe,c'est plus court que j’aurais pensé et c’est une bonne journée pour voyager car il pleut. On arrive à la maison vers 1 :30PM, pas mal de tout, il était temps, il faut faire des lavages, c’est plus simple ici que dans un backpacker. Il est bon de revoir la famille, tous sont de bonne humeur et le confort du petit appartement est le bienvenu.
ensuite on arrive à Rotorua avant l’heure du lunch, le backpacker qui nous intéressait est rempli, la personne à la réception en appelle deux autres et finalement au troisième (Spa Backpacker), il y a une chambre a deux lits (ouf!) je ne voudrais pas encore dormir dans une dortoir. La chambre est un peu miteuse mais propre. Il y a trois jours une bibitte (non identifiée) m’a piquée à la tempe à plusieurs reprises et cela me démange et me fait mal depuis, même en appliquant un onguent à la cortisone. Celle-ci aide à diminuer les démangeaisons mais l’enflure se répand vers l’œil et autour de l’oreille, inquiète, je retourne à une pharmacie pour demander un onguent antibiotique, j’apprend que c’est impossible ici sans prescription. 
On me suggère un antihistaminique,
pas une mauvaise idée, qui sait, il se peut que je sois allergique à la sacrée bibitte. On visite un jardin thermique en plein centre de Rotorua, ils disent que les fumeroles et autres tunnels ou trous d’eau bouillante ou de boue apparaissent sans crier gare un peu partout dans le coin, on le constate, car en plein milieu des sentiers, on découvre des trous pleins d’eau bouillonnante seulement couverts ou 
entourés de grosses roches pour empêcher les gens de mettre le pied dedans, c’est très impressionnant, bbbil y a même des maisons qui ont de la vapeur qui s’échappe de leurs cours arrières, probablement très pratique pour faire le lavage. Le soir, souper dans la cuisine du backpacker, Paul est aux anges, on partage la table avec trois superbes, jeunes, grandes, suédoises blondes.Lundi, grosse journée de visite, le matin on visite un site qui comprend plusieurs petits lacs aux couleurs différentes dépendant des minéraux et autres dépôts qu’ils contiennent, ils sont tous plus ou moins chauds ou bouillonnants. Le soir souper traditionnel Maori accompagné de spectacles et visite nocturne dans une parc ou on a pu voir de vrais Kiwis en vie et pleins d’énergie, ils sont assez gros ces oiseaux, plus gros qu’une poule,
le bec est très très lon
g. Le parc que nous visitons reçoit des œufs de kiwi sauvages et les garde pendant l’éclosion et pour un an, vu que ces oiseaux sont rares, cela augmente leur risque de survie de 20% à 80% ensuite , ils sont relâchés dans la nature. Le spectacle est très agréable et on nous donne un aperçu de la culture Maori, les danseurs sont tous membres de la même famille étendue et sont des amateurs alors cela ajoute au charme du spectacle.Mardi, après une nuit calme et un peu trop chaude car il ne faut pas oublier qu’on est assis sur un volcan,
c'est le retour vers Auckland, vu que la route est directe,c'est plus court que j’aurais pensé et c’est une bonne journée pour voyager car il pleut. On arrive à la maison vers 1 :30PM, pas mal de tout, il était temps, il faut faire des lavages, c’est plus simple ici que dans un backpacker. Il est bon de revoir la famille, tous sont de bonne humeur et le confort du petit appartement est le bienvenu.Mercredi, jeudi, il ne fait pas très beau, on prend le risque de faire les lavages entre les averses mais finalement le tout finit par sécher. Retour dans les centres d’achats pour faire quelques courses. Le marché immobilier est en voie de tomber ici, les journaux et la Télé en parlent car les taux d’intérêt des hypothèques sont maintenant près de 10% et cela décourage les acheteurs kiwi. Le prix moyen d’une maison bien ordinaire ici est autour de $500,000NZ, les prix ont monté car les maisons sont achetées par des immigrants orientaux (beaucoup de chinois) et les anglais qui arrivent ici avec beaucoup d’argent. 
Roxanne décide de mettre la maison sur le marché ce weekend, donc branle bas de combat, on sait ce que cela veut dire quand il y a des « Open homes » surtout avec les petits : on range les bébelles, et aussi les petits quand on peut, pour permettre à la maison de demeurer impeccable au moins quelques minutes.
Vendredi, Denis et Mimi qui sont les voisins d’Alain au lac Nantel arrivent ici pour une visite de la Nouvelle-Zélande, ils iront aussi en Australie après. Nous les rencontrons le matin et nous promenons avec eux au centre ville d’Auckland incluant le parc Albert. On va dans un Food Court et les hommes mangent des fish and chips (encore une fois pour Paul) et Mimi et moi mangeons du sushi, elle n’en revient pas de la qualité du chois et du prix qui est très bas.
Nous marchons encore un peu et ils reviennent à la maison avec nous pour souper (moules et agneau) et rencontrer la famille. Cette petite visite leur a permis de voir comment vivent les kiwis.
Samedi, nous passons chercher Mimi et Denis à leur hôtel et les emmenons prendre une marche dans un sentier d’un parc montagneux sur la route vers les plages de Piha et Muriwai que nous voulons leur montrer. Ils apprécient b
eaucoup la randonnée et les différents points de vue sur la route. Les plages sont spectaculaires et ils sont contents de leur journée quand nous les ramenons à leur hôtel vers 6 PM. Nous revenons ici, je ne me sens pas très bien car je couve une petite grippe et mes piqûres d’araignée (?) m’incommodent encore, mon œil est encore enflé et rouge et il me pique. Donc, rien de mieux que de faire un beau dodo en attendant de me sentir mieux pendant que Paul va souper avec les jeunes. Les visiteurs commencent à venir voir la maison, plusieurs semblent intéressés mais pas d’offre encore à part celui de sa voisine qui veut beaucoup acheter la maison.
Roxanne décide de mettre la maison sur le marché ce weekend, donc branle bas de combat, on sait ce que cela veut dire quand il y a des « Open homes » surtout avec les petits : on range les bébelles, et aussi les petits quand on peut, pour permettre à la maison de demeurer impeccable au moins quelques minutes.Vendredi, Denis et Mimi qui sont les voisins d’Alain au lac Nantel arrivent ici pour une visite de la Nouvelle-Zélande, ils iront aussi en Australie après. Nous les rencontrons le matin et nous promenons avec eux au centre ville d’Auckland incluant le parc Albert. On va dans un Food Court et les hommes mangent des fish and chips (encore une fois pour Paul) et Mimi et moi mangeons du sushi, elle n’en revient pas de la qualité du chois et du prix qui est très bas.
Nous marchons encore un peu et ils reviennent à la maison avec nous pour souper (moules et agneau) et rencontrer la famille. Cette petite visite leur a permis de voir comment vivent les kiwis.
Samedi, nous passons chercher Mimi et Denis à leur hôtel et les emmenons prendre une marche dans un sentier d’un parc montagneux sur la route vers les plages de Piha et Muriwai que nous voulons leur montrer. Ils apprécient b
eaucoup la randonnée et les différents points de vue sur la route. Les plages sont spectaculaires et ils sont contents de leur journée quand nous les ramenons à leur hôtel vers 6 PM. Nous revenons ici, je ne me sens pas très bien car je couve une petite grippe et mes piqûres d’araignée (?) m’incommodent encore, mon œil est encore enflé et rouge et il me pique. Donc, rien de mieux que de faire un beau dodo en attendant de me sentir mieux pendant que Paul va souper avec les jeunes. Les visiteurs commencent à venir voir la maison, plusieurs semblent intéressés mais pas d’offre encore à part celui de sa voisine qui veut beaucoup acheter la maison.
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