Dimanche, journée de visite des cavernes de Carlsbad au Nouveau Mexique. Les cavernes sont à 25 miles de camping et il faut monter dans la montagne pour arriver à l’entrée. La vue en arrivant en haut dans le centre d’information est spectaculaire, on voit, nous dit-on jusqu’au Texas. On a l’option de descendre dans les cavernes par élévateur (750 pieds) ou par une piste très bien aménagée qui descend progressivement par diverses cavernes pour arriver à celle qu’ils appellent The Big Room, elle est immense et c’est très beau. La descente prend 45 minutes à un bon rythme, ce sera notre exercice de la journée, une chance qu’il ne faut pas remonter par le même chemin, juste descendre est essoufflant. Petit nuage à notre journée, au parc on ne peut pas laisser les animaux dans les autos, il faut les faire garder dans leur chenil ($5. par chien), c’est moche, des cages éclopées l’une à côté de l’autre sur le sol dans une toute petite salle en béton à peine éclairée. Il va sans dire que les chiens ne voulaient pas entrer dans la cage, quel endroit déprimant. Au retour réunion de groupe pour planifier le départ de demain matin, notre groupe quittera à 8am, Paul a déjà accroché la caravane au camion cela rendra les préparations de demain matin plus faciles. Je dois encore une fois faire des lavages, le sable soulevé par les vents qu’on a eus depuis quelques jours salit nos vêtements très rapidement, tout est poussiéreux.
Lundi, on prend la route à nouveau, cette fois-ci vers Sonora au Texas, progressivement le paysage verdit et il y a des derricks de pétrole un peu partout, par contre, seulement certains d’entre eux sont actifs. Surprise, ces texans utilisent des éoliennes, elles sont installées à perte de vue sur le haut des plateaux des deux côtés de la route, avec le vent qu’il y a normalement au Texas, c’est probablement une bonne idée. On arrive au camping, c’est un peu à l’étroit et il fait quand même un peu plus chaud malgré le vent, pas question d’enlever les coupe- vents. Il y a des paons, des colibris par dizaines et des chevreuils. Tout le groupe se rassemble devant les caravanes pour placoter jusqu’à l’heure du souper.
Mardi, il fait finalement chaud, on peut ranger les manteaux d’hiver qui ont été très utiles ces dernières semaines. Aujourd’hui c’est la visite de la caverne de Sonora. Vu qu’on avait visité les cavernes de Carlsbad il y a quelques jours, Paul et moi nous demandions si ce ne serait pas un peu de répétition, une caverne c’est une caverne, mais non, où la caverne à Carlsbad était immense et plutôt inactive (il n’y a plus beaucoup de d’évolution dans les formations existantes) celle-ci est vivante, humide et chaude. Les couloirs sont étroits et branchent dans tous les sens et il y a des formations de toutes les formes et couleurs partout, on se croirait dans un conte de fée. Nous avons sillonné les différents couloirs pour plus d’une heure sans être blasés car il y avait toujours des formes différentes. Tout l’après-midi a été consacré au placotage, étendus confortablement dans nos chaises au soleil, quelle béatitude après tout le froid et le vent des jours passés. Après le souper, Richard et Gaétane qui sont d’un autre groupe de quatre, sont venus faire un tour car ils vont probablement se joindre à nous après le voyage pour quelques jours de repos en Floride.
Mercredi, on se rend à San Antonio, finalement il fait encore chaud et la route est courte et agréable, cela fait du bien de voir de la verdure après les semaines passées dans le désert. On arrête en chemin dans un magasin de sport pour fouiner un peu et Paul achète une chaise avec une tablette intégrée pour mettre les verres. En arrivant à notre beau camping, pas question de bouger, on s’installe contre la caravane et bientôt les Dominos viennent nous rejoindre pour un 5-7 qui dure jusqu’à 8 :30. On en profite pour travailler sur le petit sketch que chaque groupe doit préparer pour la soirée de clôture.
Jeudi, départ à 8am pour visiter la ville de San Antonio, on visite l’Alamo et la mission San Jose. C’est une très agréable visite, la ville est très belle avec la rivière San Antonio qui traverse celle-ci et a été convertie en canal que nous avons navigué avec l’aide d’un guide. Nous avons bien l’intention d’y retourner pour visiter certains coins que l’on a juste eu le temps d’apercevoir. On revient au camping en fin d’après-midi pour profiter un peu du soleil et de la chaleur. On a du temps pour faire des courses pour revenir et prendre un petit repas tranquille.
Vendredi, c’est le temps pour le bain des chiens, cette fois-ci je le leur donne dans le lavabo de la cuisine, c’est moins dur pour mon dos car le plancher de la douche est très, très bas. Dans l’après-midi, petite excursion dans San Antonio pour visiter le Mercado qui est un quartier dédié aux marchands Mexicains, on y passe plus d’une heure mais ce n’est quand même pas assez, seulement Paul trouve un petit souvenir pour Maxime, vers 5pm on rejoint les autres Dominos pour aller souper sur le bord de la rivière au centre ville. Ce quartier est encore plus populaire le soir, les restaurants sont pleins et après avoir attendu 35 minutes au bar d’un premier restaurant pour avoir une place dehors sur la terrasse d’un bas, ils veulent nous installer sur le balcon du deuxième qui était déjà libre lors de notre arrivée. On est offusqués et on quitte pour aller manger ailleurs. Le repas, chez Landry, est très bon et on a du plaisir car on commence à bien connaître les gens du groupe.
Samedi, on dirait qu’il va pleuvoir, mais on va quand même faire un tour au Mercado, je retrouve une petite robe légère que j’avais vue hier mais que je n’avais pas eu le temps d’acheter. En revenant, il fallait faire le plein d’essence et on arrête au Wal-Mart pour faire de petites courses, Paul me donne une frousse, on devait se rencontrer vers 4 :30 après avoir été chacun de son côté, et voilà qu’a 5pm, il n’est toujours pas au rendez-vous, je panique car il est toujours très ponctuel (plus que moi quand on est dans les magasins). Je le cherche partout, je vais voir dans le camion, juste en cas, et finalement je me résigner à demander au service à la clientèle s’il y a eu une personne de rapportée malade. Rien de spécial à me dire et voilà que je le vois à une des caisses, j’ai envie de l’étriper. Il a tout de même une bonne excuse car il a eu un téléphone de sa fille Roxanne de Nouvelle-Zélande. On revient au camping pour un 6-8 qui était assez généreux pour qu’il serve de souper et on passe une belle soirée.
Lundi, on prend la route à nouveau, cette fois-ci vers Sonora au Texas, progressivement le paysage verdit et il y a des derricks de pétrole un peu partout, par contre, seulement certains d’entre eux sont actifs. Surprise, ces texans utilisent des éoliennes, elles sont installées à perte de vue sur le haut des plateaux des deux côtés de la route, avec le vent qu’il y a normalement au Texas, c’est probablement une bonne idée. On arrive au camping, c’est un peu à l’étroit et il fait quand même un peu plus chaud malgré le vent, pas question d’enlever les coupe- vents. Il y a des paons, des colibris par dizaines et des chevreuils. Tout le groupe se rassemble devant les caravanes pour placoter jusqu’à l’heure du souper.
Mardi, il fait finalement chaud, on peut ranger les manteaux d’hiver qui ont été très utiles ces dernières semaines. Aujourd’hui c’est la visite de la caverne de Sonora. Vu qu’on avait visité les cavernes de Carlsbad il y a quelques jours, Paul et moi nous demandions si ce ne serait pas un peu de répétition, une caverne c’est une caverne, mais non, où la caverne à Carlsbad était immense et plutôt inactive (il n’y a plus beaucoup de d’évolution dans les formations existantes) celle-ci est vivante, humide et chaude. Les couloirs sont étroits et branchent dans tous les sens et il y a des formations de toutes les formes et couleurs partout, on se croirait dans un conte de fée. Nous avons sillonné les différents couloirs pour plus d’une heure sans être blasés car il y avait toujours des formes différentes. Tout l’après-midi a été consacré au placotage, étendus confortablement dans nos chaises au soleil, quelle béatitude après tout le froid et le vent des jours passés. Après le souper, Richard et Gaétane qui sont d’un autre groupe de quatre, sont venus faire un tour car ils vont probablement se joindre à nous après le voyage pour quelques jours de repos en Floride.
Mercredi, on se rend à San Antonio, finalement il fait encore chaud et la route est courte et agréable, cela fait du bien de voir de la verdure après les semaines passées dans le désert. On arrête en chemin dans un magasin de sport pour fouiner un peu et Paul achète une chaise avec une tablette intégrée pour mettre les verres. En arrivant à notre beau camping, pas question de bouger, on s’installe contre la caravane et bientôt les Dominos viennent nous rejoindre pour un 5-7 qui dure jusqu’à 8 :30. On en profite pour travailler sur le petit sketch que chaque groupe doit préparer pour la soirée de clôture.
Jeudi, départ à 8am pour visiter la ville de San Antonio, on visite l’Alamo et la mission San Jose. C’est une très agréable visite, la ville est très belle avec la rivière San Antonio qui traverse celle-ci et a été convertie en canal que nous avons navigué avec l’aide d’un guide. Nous avons bien l’intention d’y retourner pour visiter certains coins que l’on a juste eu le temps d’apercevoir. On revient au camping en fin d’après-midi pour profiter un peu du soleil et de la chaleur. On a du temps pour faire des courses pour revenir et prendre un petit repas tranquille.
Vendredi, c’est le temps pour le bain des chiens, cette fois-ci je le leur donne dans le lavabo de la cuisine, c’est moins dur pour mon dos car le plancher de la douche est très, très bas. Dans l’après-midi, petite excursion dans San Antonio pour visiter le Mercado qui est un quartier dédié aux marchands Mexicains, on y passe plus d’une heure mais ce n’est quand même pas assez, seulement Paul trouve un petit souvenir pour Maxime, vers 5pm on rejoint les autres Dominos pour aller souper sur le bord de la rivière au centre ville. Ce quartier est encore plus populaire le soir, les restaurants sont pleins et après avoir attendu 35 minutes au bar d’un premier restaurant pour avoir une place dehors sur la terrasse d’un bas, ils veulent nous installer sur le balcon du deuxième qui était déjà libre lors de notre arrivée. On est offusqués et on quitte pour aller manger ailleurs. Le repas, chez Landry, est très bon et on a du plaisir car on commence à bien connaître les gens du groupe.
Samedi, on dirait qu’il va pleuvoir, mais on va quand même faire un tour au Mercado, je retrouve une petite robe légère que j’avais vue hier mais que je n’avais pas eu le temps d’acheter. En revenant, il fallait faire le plein d’essence et on arrête au Wal-Mart pour faire de petites courses, Paul me donne une frousse, on devait se rencontrer vers 4 :30 après avoir été chacun de son côté, et voilà qu’a 5pm, il n’est toujours pas au rendez-vous, je panique car il est toujours très ponctuel (plus que moi quand on est dans les magasins). Je le cherche partout, je vais voir dans le camion, juste en cas, et finalement je me résigner à demander au service à la clientèle s’il y a eu une personne de rapportée malade. Rien de spécial à me dire et voilà que je le vois à une des caisses, j’ai envie de l’étriper. Il a tout de même une bonne excuse car il a eu un téléphone de sa fille Roxanne de Nouvelle-Zélande. On revient au camping pour un 6-8 qui était assez généreux pour qu’il serve de souper et on passe une belle soirée.
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