
Dimanche, jour de repos, la chaleur est revenue, c’est agréable. Nous allons manger le lunch au Frontier Café, je prends un Burrito, il est fait dans une immense tortilla et est facilement 12 pouces par 6 pouces, il y a en plus des « beans », du riz et de la salade, je mange mon repas, Paul en mange une partie et il m’en reste encore pour un autre repas, le tout pour $6.99, en plus, c’est très bon. Nous allons au Marché aux Puces, Paul veut des casquettes, nous achetons des cornes de bœuf polies pour mettre dans la Casita, cela fait « Texas ». Au retour, nous allons voir Claudette et Luis, il se remet tranquillement, mais ce qui le fait le plus souffrir ce sont des ulcères dans la boucher…bizarre. Claudette veut un Kindle, nous allons chez Office Depot où il n’en reste qu’un, je lui montre un peu son fonctionnement, il faudra qu’elle vienne chez nous pour faire son enregistrement car cela prend le WiFi et il n’y en a pas dans la partie Est du parc où ils sont installés.

Lundi, il fait très beau, ensoleillé et chaud. Hier nous sommes allés visiter la pépinière où nous avions acheté nos plantes la dernière fois. Nous choisissons une plante comme celle que nous avons déjà car elle est toujours en fleurs à ce temps-ci de l’année, nous prenons des fleurs rouges cette fois-ci. Il y avait aussi des bougainvilliers lilas que j’aime bien car les fleurs sont grandes, à cela nous ajoutons deux petits plans de grimpants qui font des fleurs mauves pâles, nous les planterons sur le côté de la cassita qui n’a pas de fenêtre. Cours de Tai-Chi et réunion du quilting le matin, ensuite je reviens pour le lunch et Claudette vient faire activer son Kindle, le signal WiFi est moche mais nous réussissons à télécharger deux livres. Louise vient avec ses perles, nous attachons un fermoir sur son bracelet. Claudette a apporté une bouteille de rosé, Sylvie est arrêtée en passant alors nous buvons à la santé du nouveau Kindle. Je quitte avec Paul, nous allons chercher du bois mais les essences que Paul veut acheter ne sont pas disponibles, il faudra retourner. Nous allons ensuite magasiner un nouveau laptop, celui que j’utilise n’a plus de batterie et est d’une lenteur incroyable, j’ai le temps de faire ma vaisselle pendant que Word ouvre, nous en trouvons un chez Best Buy, c’est un autre Dell, on verra si celui-ci est plus rapide.

Mardi, il fait encore chaud et ensoleillé, Paul trouve le temps d’aller placoter avec les amis dans l’eau de la piscine. Le matin, je vais au Tai-Chi et à la danse en ligne, Paul va au Wood shop. Après le lunch, Solange vient apprendre à faire un bracelet, cela me donne la chance de la connaître un peu mieux. Ensuite, je travaille à coudre et découdre …!!! les rideaux de la Cassita. Paul revient de la piscine avec Louise et Jacques, ils viennent prendre l’apéro, c’est agréable de pouvoir utiliser l’ensemble patio, nous en profitons pour placoter un peu avec eux car ils travaillent encore et quittent pour Ottawa après-demain. Après souper, nous allons jouer au Bingo grand’maman avec Solange et Georges, naturellement, nous ne gagnons rien mais nos amis qui ne connaissaient pas cette formule de bingo, trouvent l’expérience agréable.


Mercredi, il fait beau et chaud. Un peu de danse en ligne le matin et en après-midi, je travaille un peu sur mes rideaux, il faudrait bien que je m’y mette si je veux les finir un jour. Paul, de son côté, Paul travaille très fort, il m’aide à installer mon nouveau PC, il fonctionne maintenant très bien, le temps-réponse est ultra rapide, cela fait tellement de bien. Ensuite, il décide de réparer le micro-ondes, il a dû enlever des douzaines de vis, je croyais qu’il ne réussirait pas, il y avait des vis partout, quelques heures plus tard, tout est réinstallé et fonctionne bien, il ne reste qu’une petite vis orpheline sur le comptoir. Pour souper, nous allons avec 16 amis souper chez Arturos, même Luis y était, un peu affaibli mais il semble sur le chemin de la guérison après ses 4 pontages. Nous sommes sortis pour dire bon voyage à Louise et Jacques qui quittent demain pour Ottawa, ils doivent retourner au travail, les pauvres.
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