Vendredi le 23 septembre, départ de Monréal vers Puerto
Plata à 15h30, l’avion n’est pas plein,
ce n’est pas comme les vols en Europe.
Je suis assise à côté d’une dame, Chantal, qui vit en République depuis
plus de vingt ans, elle nous parle de la vie ici et de la mentalité des
Dominicains. Quatre heures et un peu
plus et l’autobus de l’aéroport, nous arrivons à l’hôtel vers 21 :00 et on
n’a pas eu de repas à bord. On nous conduit à notre chambre et c’est une belle
surprise, une grande suite comprise de deux chambres, l’une avec un lit king ,
une petite table et deux chaises, une bouteille de mousseux, deux T-shirts et
une assiette de fruits frais, ça bouche un trou, car on a faim tous les deux.
L’autre chambre avec une deuxième salle de bains est un joli salon, on a aussi deux balcons avec vue sur la mer. On va faire un petit tour pour voir s’il est possible d’avoir un petit drink pour bien commencer les vacances, il y a aussi un snack bar qui ouvre à 23 :00, on y va manger une petite bouchée….merveilleux à date, bizarre c’est le même Baya Principe où nous étions allés il y a maintenant vingt ans. En route, on voit New York de haut.
Samedi 24 septembre, on passe une agréable première journée, la nourriture au buffet le matin n’est pas aussi élaborée qu’au Baya Principe de Punta Cana, mais les frais du per diem sont aussi moins élevés, comme toujours, on en a pour notre argent, mais il y a quand même un bon choix. Le matin, nous assistons à trois sessions d’information, une sur les bénéfices du club Privilège auquel nous appartenons, places réservées sur la plage et au restaurant buffet, accès à l’internet de notre chambre prépayé pour une semaine, restaurants à la carte, 6 jours déjà réservés, on peut y aller plus souvent, selon nos préférences.
Il y a aussi accès au téléphone pour longues distances gratuits au Privilège lounge et aussi accès à l’internet les deux autres sont pour vendre des excusions. Nous rencontrons d’autres personnes qui sont arrivés sur le même vol, les deux voyagent seules et sont toutes les deux très agréables, Carole a des problèmes avec son coffre-fort et Paul la dépanne. La journée est ensoleillée mais très chaude, on en profite pour aller à la mer. Pour souper, c’est le restaurant japonais, on opte tous les deux pour du tempura et des brochettes, c’est bon, les quantités sont raisonnables et la présentation est belle.
Dimanche le 25 septembre, Clemente nous avait avisés qu’il y a présentement la foule à l’hôtel car c’est une fête de la vierge très importante pour les Dominicains et ils sont venus y passer le weekend. On le réalise au buffet le midi, ils n’ont vraiment pas le sens de la file d’attente, je vais pour prendre mon lunch et pas moyen de m’approcher des mets qui m’intéressent, je suis frustrée et je reviens à la table avec seulement des choux de Bruxelles. Heureusement un peu plus tard, c’est plus calme et je retourne prendre une autre assiette plus intéressante cette fois-ci.
Carole est partie cet après midi, elle était là pour seulement une semaine. Le soir venu, on a souper au restaurant l'Orchidée avec notre réservation. Après, comme il pleuvait, on est allés écouter une chanteuse dans le lobby.
Des danseurs sont venus nous chercher pour danser. Les jeunes danseurs n'en revenaient pas de voir la grand maman danser comme ça. Une jolie "pitoune" est venue me chercher et j'ai fini par accepter de danser avec elle, elle non plus n'en revenait pas de voir le grand papa se faire aller une fois qu'elle m'a montré les pas - finalement tout le monde a applaudi à la fin de la danse. Un ouragan est en route dans les Carraïbes et le trajet prévu passe entre Cuba et Haiti, mais ce n'est pas loin - attendons voir...
L’autre chambre avec une deuxième salle de bains est un joli salon, on a aussi deux balcons avec vue sur la mer. On va faire un petit tour pour voir s’il est possible d’avoir un petit drink pour bien commencer les vacances, il y a aussi un snack bar qui ouvre à 23 :00, on y va manger une petite bouchée….merveilleux à date, bizarre c’est le même Baya Principe où nous étions allés il y a maintenant vingt ans. En route, on voit New York de haut.
Samedi 24 septembre, on passe une agréable première journée, la nourriture au buffet le matin n’est pas aussi élaborée qu’au Baya Principe de Punta Cana, mais les frais du per diem sont aussi moins élevés, comme toujours, on en a pour notre argent, mais il y a quand même un bon choix. Le matin, nous assistons à trois sessions d’information, une sur les bénéfices du club Privilège auquel nous appartenons, places réservées sur la plage et au restaurant buffet, accès à l’internet de notre chambre prépayé pour une semaine, restaurants à la carte, 6 jours déjà réservés, on peut y aller plus souvent, selon nos préférences.
Il y a aussi accès au téléphone pour longues distances gratuits au Privilège lounge et aussi accès à l’internet les deux autres sont pour vendre des excusions. Nous rencontrons d’autres personnes qui sont arrivés sur le même vol, les deux voyagent seules et sont toutes les deux très agréables, Carole a des problèmes avec son coffre-fort et Paul la dépanne. La journée est ensoleillée mais très chaude, on en profite pour aller à la mer. Pour souper, c’est le restaurant japonais, on opte tous les deux pour du tempura et des brochettes, c’est bon, les quantités sont raisonnables et la présentation est belle.
Dimanche le 25 septembre, Clemente nous avait avisés qu’il y a présentement la foule à l’hôtel car c’est une fête de la vierge très importante pour les Dominicains et ils sont venus y passer le weekend. On le réalise au buffet le midi, ils n’ont vraiment pas le sens de la file d’attente, je vais pour prendre mon lunch et pas moyen de m’approcher des mets qui m’intéressent, je suis frustrée et je reviens à la table avec seulement des choux de Bruxelles. Heureusement un peu plus tard, c’est plus calme et je retourne prendre une autre assiette plus intéressante cette fois-ci.
Le soir, nous allons souper avec Carole, le calme est revenu, il n’y a
presque personne au buffet, aucune attente, ensuite, nous allons voir un
spectacle d’imitation de Michael Jackson, ils sont bons danseurs ces
Dominicains. Malgré les prévisions météo
qui annonçaient de la pluie et des nuages, il fait très beau et il y a même eu
un peu de vent pour couper l’humidité, une autre journée splendide.
Lundi, il fait encore très beau, les dominicains sont partis et nous avons presque toutes les places disponibles, juste l’embarras du choix, nous passons la journée à la plage en compagnie de Carole et Paul-Émile qui voyage aussi seul, il prend des cours de plongée ces jours-ci. Nous finissons l’après-midi à la grande piscine où se trouve l’animation, il devait y avoir une classe de bachata, mais, vu le peu d’achalandage (il n’y avait personne) elle a été remise à demain. Souper à la carte au restaurant Italien ce soir en compagnie de Carole. Les journées qui suivent se ressemble: plage, repas, piscine, 5 à 7 et souper au restaurant, les photos valent 1 000 mots.
Jeudi, les jours se suivent sans grand changement, il fait très beau et chaud, nous profitons de notre belle vacance, nous avons maintenant essayé tous les restaurants à la carte et avons nos préférés, l’Orchidéa qui est français est le premier en liste suivi du japonais, on est bien choyés et naturellement on mange beaucoup, beaucoup trop. Aujourd’hui, on prend le taxi pour aller au petit village de Rio San Juan à quelques kilomètres d’ici, nous allons souper à un joli restaurant près d’une lagune, je mange des crevettes à la plancha et Paul de la pieuvre, nous sommes avec Carole et Paul-Émile, comme partout à date les gens sont gentils et souriants.
Lundi, il fait encore très beau, les dominicains sont partis et nous avons presque toutes les places disponibles, juste l’embarras du choix, nous passons la journée à la plage en compagnie de Carole et Paul-Émile qui voyage aussi seul, il prend des cours de plongée ces jours-ci. Nous finissons l’après-midi à la grande piscine où se trouve l’animation, il devait y avoir une classe de bachata, mais, vu le peu d’achalandage (il n’y avait personne) elle a été remise à demain. Souper à la carte au restaurant Italien ce soir en compagnie de Carole. Les journées qui suivent se ressemble: plage, repas, piscine, 5 à 7 et souper au restaurant, les photos valent 1 000 mots.
Jeudi, les jours se suivent sans grand changement, il fait très beau et chaud, nous profitons de notre belle vacance, nous avons maintenant essayé tous les restaurants à la carte et avons nos préférés, l’Orchidéa qui est français est le premier en liste suivi du japonais, on est bien choyés et naturellement on mange beaucoup, beaucoup trop. Aujourd’hui, on prend le taxi pour aller au petit village de Rio San Juan à quelques kilomètres d’ici, nous allons souper à un joli restaurant près d’une lagune, je mange des crevettes à la plancha et Paul de la pieuvre, nous sommes avec Carole et Paul-Émile, comme partout à date les gens sont gentils et souriants.
Des danseurs sont venus nous chercher pour danser. Les jeunes danseurs n'en revenaient pas de voir la grand maman danser comme ça. Une jolie "pitoune" est venue me chercher et j'ai fini par accepter de danser avec elle, elle non plus n'en revenait pas de voir le grand papa se faire aller une fois qu'elle m'a montré les pas - finalement tout le monde a applaudi à la fin de la danse. Un ouragan est en route dans les Carraïbes et le trajet prévu passe entre Cuba et Haiti, mais ce n'est pas loin - attendons voir...
Lundi, 3 octobre, Matthew nous envoie de la pluie et des nuages,
Paul a quand même eu quelques périodes ensoleillées pour se faire rôtir, il est
très, très bronzé. J’en profite pour lire plusieurs livres. Nous allons quand
même à la plage et à la piscine quand le soleil se montre le nez. Mais…..on
mange comme des co…….il faudra retourner à une bonne diète à notre retour
sinon, il faudra renouveler notre garde-robe, mais on en profite car c’est tellement
bon. Paul mange du poisson frais à tous les repas, sauf au petit-déjeuner (c’est
parce qu’ils n’en servent pas).
Me voilà devenue alcoolique, j’ai même bu du
vin pétillant au petit déjeuner, leur sangria est délicieuse et j’essaie les cocktails
que je ne connais pas, juste pour voir, c’est facile quand tout est gratuit,
pour nous avec le Club Privilège, même les alcools comme le Cointreau, Tia Maria
etc. normalement chargés sont inclus, J’en profite rarement mais j’ai bu un
Baileys, hier soir j’ai bu un café espagnol…..quel péché. Au retour à la
chambre, on a rencontré notre nouveau colocataire, un joli minuscule lézard,
mais malheureusement il est disparu et il est impossible de le revoir.
Bon, ça y est, l'oiseau de fer arrive un peu en retard et nous partons vers le nord pour pouvoir apprécier la fraîcheur - non, il ne fait pas froid encore mais ça s'en vient - nous dit-on, mais de toute façon, on s'en fou car nous serons en route pour le Texas dans une semaine, où il fait actuellement 35 degrés...
Mardi, 4 octobre, il n’y a pas de soleil, mais on a quand même
passé une belle journée avec des périodes de pluie, pas grave, ils fournissent
les parapluies. C’est l’ouragan Mathew qui fait des siennes mais le pire est à
l’ouest de la République et surtout Haïti où il y a eu beaucoup de dommage. On
peut voir que le gros de la journée a été passé à faire un montage vidéo juste en haut. Nous passons un peu de temps au bar, et
allons souper au restaurant français, toujours très bon. On finit la soirée à
un spectacle de magie, finalement une belle journée malgré le mauvais temps.
Mercredi, 5 octobre, le soleil montre le nez, cela fait du bien, Mathew est en route pour la Floride après avoir fait 264 morts en Haïti, juste à côté de nous. On rencontre un couple du Québec, ils sont charmants, dommage que nous n’ayons pas passé plus de temps avec eux, ils quittent aussi sur le même vol que nous. Au souper nous placotons avec un couple de la Saskatchewan, il est francophone, elle anglophone, Guy et Nancy, ils viennent ici depuis plus de vingt ans à tous les ans, ils ont des amis dans le coin et ils distribuent de la nourriture aux pauvres familles d’ici, on passe la soirée avec eux et on les invite à fêter notre 21ième anniversaire dans notre chambre demain soir avec un mousseux que nous avons gardé pour cette occasion. Quand nous allons au bureau du Privilege Club pour obtenir des flutes à champagne. Ils nous offrent une bouteille supplémentaire pour fêter avec nos amis. Paul a demandé la musique thème de Baya Principe pour ajouter à un petit film qu’il veut monter de nos vacances.
Vendredi 7 octobre, c’est le dernier jour et il fait très chaud et humide, on fait les valises et on passe du temps dans le local du Privilège Club qui est le seul endroit climatisé à part les chambres. On prend deux longs et délicieux repas et on placote avec notre chaleureux garçon de table, Eddy qui est toujours taquin et souriant. Le voyage de retour se fait très bien, Paul-Émile se trouve juste derrière Paul dans l’avion, quelle bizarre de coïncidence. Nous sommes pas mal certains d’y retourner car bien que ce soit un de leurs petits hôtels, ils le rénovent et y mettent beaucoup d’effort, dans quelques mois, ils auront complété la section Privilège et ce sera encore mieux, le personnel a été impeccable et toujours souriant, ils me font penser aux latins de Texas, remplis de joie de vivre malgré leur pauvreté.
Mercredi, 5 octobre, le soleil montre le nez, cela fait du bien, Mathew est en route pour la Floride après avoir fait 264 morts en Haïti, juste à côté de nous. On rencontre un couple du Québec, ils sont charmants, dommage que nous n’ayons pas passé plus de temps avec eux, ils quittent aussi sur le même vol que nous. Au souper nous placotons avec un couple de la Saskatchewan, il est francophone, elle anglophone, Guy et Nancy, ils viennent ici depuis plus de vingt ans à tous les ans, ils ont des amis dans le coin et ils distribuent de la nourriture aux pauvres familles d’ici, on passe la soirée avec eux et on les invite à fêter notre 21ième anniversaire dans notre chambre demain soir avec un mousseux que nous avons gardé pour cette occasion. Quand nous allons au bureau du Privilege Club pour obtenir des flutes à champagne. Ils nous offrent une bouteille supplémentaire pour fêter avec nos amis. Paul a demandé la musique thème de Baya Principe pour ajouter à un petit film qu’il veut monter de nos vacances.
Jeudi, 6 octobre, le beau soleil
est revenu avec beaucoup, beaucoup, de chaleur, c’est journée plage et piscine,
ils ont enlevé toutes les chaises longues sur la plage près de notre ``habitation``
alors nous retournons au coin réservé pour le Privilege Club, maintenant que j’y
pense, on aurait dû toujours y aller car on y a fait des connaissance et nous
placotons avec eux, ils nous donnent aussi de l’information sur leur
utilisation du Club et de RCI, un jeune Russo-canadien a été à Paris et a très
bien logé avec RCI, une dame a voyagé dans plusieurs Bahia Principe avec ses
parents et beaux-parents et ils en profitent beaucoup, c’est rassurant… j’ai l’impression que l’on va voyager
beaucoup plus souvent à l’avenir, Youppi!
C’est notre 21ième anniversaire et malheureusement Nancy et Guy sont retenus à Sosua, alors on fête seuls et on engloutit une bouteille de blanc pétillant (champagne) à nous deux, une chance qu’il ne faut pas conduire pour aller manger.
C’est notre 21ième anniversaire et malheureusement Nancy et Guy sont retenus à Sosua, alors on fête seuls et on engloutit une bouteille de blanc pétillant (champagne) à nous deux, une chance qu’il ne faut pas conduire pour aller manger.
Vendredi 7 octobre, c’est le dernier jour et il fait très chaud et humide, on fait les valises et on passe du temps dans le local du Privilège Club qui est le seul endroit climatisé à part les chambres. On prend deux longs et délicieux repas et on placote avec notre chaleureux garçon de table, Eddy qui est toujours taquin et souriant. Le voyage de retour se fait très bien, Paul-Émile se trouve juste derrière Paul dans l’avion, quelle bizarre de coïncidence. Nous sommes pas mal certains d’y retourner car bien que ce soit un de leurs petits hôtels, ils le rénovent et y mettent beaucoup d’effort, dans quelques mois, ils auront complété la section Privilège et ce sera encore mieux, le personnel a été impeccable et toujours souriant, ils me font penser aux latins de Texas, remplis de joie de vivre malgré leur pauvreté.
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